vendredi 27 mars 2009

Alexandre Kinn "Aude"


Alexandre Kinn a passé son enfance au Sud-Est de la France sur la presqu'île de Giens dans le département du Var. Il y vit de bons moments en compagnie de sa guitare mais sans jamais prendre de cours. Il est entièrement autodidacte. Fan des Led Zeppelin et de Ben Harper, il s'en inspire beaucoup. C'est surtout lors de son voyage à la Nouvelle-Orléans qu'Alexandre comprend le vrai sens du mot "musique". Il y découvre le blues. Suite à cela, Alexandre vit son art d'une tout autre manière. Après ce voyage, il décide d'arrêter ses études d'égyptologie pour se consacrer réellement à la musique et en vivre.Alexandre Kinn débarque avec son premier opus "Dans la tête d'un homme" qui est un mélange réussi de folk et de blues. Les radios passent en boucle la chanson "Aude" qui est l'intro de cet excellent album. Un moment magique de simplicité et de tranquillité à écouter avec modération si l'on ne veut pas devenir complètement accro. Le titre est une dédicace à la fille d'un ami qui va bientôt naître. Alexandre s'adresse à ce nouveau né comme s'il en était le père. Les mots sont simples mais employés avec une efficacité déconcertante. Chaque phrase vous plonge encore et encore dans un abîme intérieur. Cela vous fait rêver et vous dit combien la vie peut être belle et imprévisible. C'est émouvant et frais. Alexandre entre dans un état de transe lorsqu'il est sur scène et qu'il chante "Aude". On ne peut s'empêcher de penser l'effet que ça fera à cet enfant lorsqu'il saura que ce morceau lui était dédié. L'intro nous place dans une atmosphère de bonheur comme si quelque chose de merveilleux allait arriver. A la première écoute Alexandre Kinn donne l'impression d'improviser ses paroles avec des petites pauses entre les phrases. Il y a une vraie sincérité dans ce titre. Le refrain est entraînant et plein de vie comme le solo de guitare final, sublime."Dans la tête d'un homme" est un concentré de petites surprises telles que "Aude". A ne surtout pas manquer.

samedi 14 février 2009

Tears for fears (Raoul and the kings of spain)

Tears for fears est un groupe phare des années 80, pour les jeunes d'aujourd'hui qui dirait que c'est ringard ils devraient y faire plus attention. En général la meilleur musique est celle de sa génération mais Tears for fears vaut le détour. Aussi appelé TFF, Tears for fears est un groupe britannique de new wave et pop rock fondé par Roland Orzabal et Curt Smith, les deux chanteurs compositeurs et guitaristes. Après trois albums plutôt réussi avec des chansons inoubliables telles que Sowing the seeds of love et Everybody wants to rule the world, Curt décide de quitter le groupe car Roland lui reproche de ne pas s'investir dans le groupe alors qu'il est considérer comme étant le leader et il trouve cela injuste. Cette ainsi que Roland continu sa carrière en solo avec son premier album "Elemental" plutôt réussi puis avec son deuxième album solo "Raoul and the kings of spain" ou l'on sent bien les origines espagnoles de Orzabal mais qui n'a pas connu de grand succès et moi je suis la pour défendre cet album qui ma paru absolument génial et même mieux que ces prédécesseurs.
L'album débute par le titre extrait du nom de l'album Raoul and the kings of spain. C'est une chanson sublime qui vous repose avec au refrain une espèce de voix off excellemment bien chantée. On pourra noter que la voix de Roland est plutôt dans les graves et comme vous savez les sons graves sont la souvent pour accompagner un peu comme une contrebasse dans un orchestre symphonique ce qui explique la voix off. C'est autour de Falling Down de faire ses preuves avec un refrain qui se détache du reste de la chanson pour surprendre grâce à son coter rock et surtout une guitare très propre est très bien jouer en fin de morceau. God's Mistake est la chanson la plus entraînante, on a envie de chanter le refrain à l'unisson avec le chanteur, un moment de bonheur. Petite dédicace de la part de Orzabal à ses origines avec Sketches of Pain, c'est le morceau le plus soigné et travaillé avec une première partie très douce et une deuxième partie qui s'emballe en puissance et en tempo puis pour finir avec la dédicace et cet air flamenco accompagner de castagnettes, c'est une petite merveille. Sorry est une chanson qui paraît bizarre à première vue car elle semble être la suite d'une autre chanson ou comme s'il manquait le début, mais en s'attardant sur celle-ci on y entend de très beaux contrastes entre le son rock et le son doux de la chanson. Dans Don't Drink the Water le principe de Raoul and the kings of spain est repris avec une voix très grave et des instruments exotiques comme une flûte de pan, cela se marie très bien. Pour conclure "Raoul and the kings of Spain" est un album que je tenais à défendre et que je conseille d'écouter. Durant tout l'album est présent un jeu de guitares sublime qui ne manque pas d'air et se mariant très bien avec la voix d'Orzabal.

mercredi 4 février 2009

Petit changement

Dans les deux vidéos de Papa Roach le chanteur est le même c'est bien Jacoby Shaddix, effectivement il a beaucoup changer depuis 2000.

Last Resort

Hollywood Whore

mardi 3 février 2009

Papa Roach (Infest)

Papa Roach est un quatuor californien de post-hardcore composé de Jacoby Shaddix le chanteur et rappeur, Jerry Horton le guitariste, Tobin Esperance le bassiste, et Dave Buckner le batteur. Ils créent le groupe en 1993 et font des représentations dans des bars et des cafés ceux qui accroît leur popularité.
En 1997 ils sortent leur premier album intitulé "Old Friends From Young Years" qui connaîtra certes du succès mais qui ne resteras pas dans les anales. En revanche ils reviennent en 2000 avec un album appeler "Infest" des plus bourrin avec un Jacoby en pleine forme et des musiciens très doué.
"Infest" débute par le titre aussi appelé Infest. Le morceau ce fait attendre durant une vingtaines de secondes avec un son qui s'entend de plus en plus jusqu'à éclater avec la voix geulante de Jacoby. C'est une chanson qui Vous donne l'envie de vous rebeller et de donner votre opinion avec une intro très rap et des paroles sombres. Ensuite on enchaîne avec Last Resort qui a eu un énorme succès avec un son très entrainant qui vous fait tourner la tête et qui vous prend et vous dit d'aller de l'avant. Avec Broken Home c'est autre chose vous êtes énervés, avec une mélodie qui au début est plutôt tranquille mais qui monte en puissance et qui à la fin pète vous en avez marre de tout et comme son nom l'indique vous voulez tout casser. Blood Brothers est une superbe chanson avec une batterie très importante qui fait tout le morceau présente du début à la fin elle entraine les autres instruments. Les sons sont variés une musique très rap et hardcore et une fin très douce. Never Enough est une autre recette qui marche aussi très bien, elle consiste a créer un contraste entre des couplets d'une voix douce et soutenue et des refrains plus chargés en énergie et une guitare qui s'enflamme. On retrouve ce même contraste mais plus flagrant à la fin avec un Jacoby déchaîner. C'est a mes yeux le morceau le plus travailler une merveille. Binge est la plus "douce" de toutes les chansons elle reprend à peu près le même schéma que Never Enough mais en beaucoup moins voyant. C'est le petit moment de répit accorder par un album ardu qui vous aura fais suer et qui vous aura comblez.
Pour conclure vous aurez compris que "Infest" n'est pas à écouter avant de dormir. C'est un excellent album à ne pas manquer.
Je tiens à préciser qu'ils sortiront bientôt un nouvel album pour mars 2009 qui promet d'être génial avec un de mes morceau préférer Hollywood Whore, je ne vous en dit pas plus.